Cocu Content Mais Pas Trop. Voire Pas Du Tout (1). "La Tentative Réussie"
Résumé :
Dans le premier épisode. Je soumets lidée à Mathilde, ma femme, de lentraîner dans un club échangistes découvert sur la route des vacances. Nous le visitons via le site internet et faisons lamour très intensément.
La capacité de Mathilde à partir en délire complet, de changé davis, de comportement, dhumeur du jour au lendemain, voir dun moment à lautres, vient, en réalité, du fait quelle est cyclotimique. La cyclothymie est un trouble de l'humeur allant de la forme la plus légère à la plus grave, proche de la maniaco-dépression. Ce trouble est caractérisé par la fluctuation anormale de lhumeur, qui oscille entre des périodes dexcitation marquée et de mélancolie profonde, entrecoupées de périodes de stabilité.
Par exemple : Un jour, nous sommes allez faire les boutiques de fringues. Ce nest pas mon activité préférée, mais je my plie pour lui faire plaisir. Nous entrons dans un magasin, Mathilde prends quelques habits puis sengouffre dans une cabine dessayage, jattends patiemment quelle mappelle pour lui donner mon avis, mais au bout de 5 minutes, elle sort de la cabine comme une balle, reposant les fringues. Je lui demande ce qui se passe. Et là :
- Y a rien qui me va. De toute façon je suis un boudin.
- Mais non pourquoi tu dis ça ?
- Jen ai marre. On rentre.
Et voilà, la journée était terminé. Soixante kilomètres pour cinq minutes de shopping. Nous sommes rentrés, elle sest fourré dans le canapé devant la télé et ne ma pas décroché un mot avant que son cycle ne soit terminé. Ca a duré 4 bonnes heures. En vingt en de mariage, jai des centaines dexemples aussi fous les uns que les autres.
Mais revenons à nos moutons.
Nous y voilà cest le jour du grand départ. Il fait beau, chaud même, la voiture est prête, Mathilde est vêtue dune robe dété légère maintenue par deux petites bretelles et une paire despadrilles, un petit string et un soutien gorge sans prétention.
- Ouchh
- Fais leur signe, bon sang.
- Oui, oui
Quel fichu caractère. Va falloir manéger la bête pendant presque 4 heures pour quelle arrive dans les meilleures dispositions. Le trajet se passe sans encombre, la route est déserte.
Durant le trajet mon esprit vagabonde. Par moment, jimagine ma femme, une fois de plus, dans un monstrueux Gang Bang entrain de sucer des gros membres, de se faire défoncer par plusieurs hommes en même temps. Je me surprends à bander. Alors je glisse ma main sous sa petite robe pour lui caresser lintérieur des cuisses. Elle me regarde, sourie, ferme les yeux, me laissant la caresser tendrement. Ses cuisses sont si douces. Je remonte encore et au moment où japproche de sa chatte elle serre les cuisses et me demande darrêter. Je sens cette rage monter en moi. Je ne peux comprendre cette sensation qui menvahie.
Nous sortons de lautoroute. Il fait encore jour, nous roulons depuis 4 bonnes heures, il reste, 1h30 de route, il faut que je me lance. Nous y sommes presque, à peine quelques kilomètres.
- Tu veux quon sarrête boire un coup ?
- Oui se serai pas mal, jai soif. Tas une idée ? Il ny a pas grand-chose douvert.
- Oui, je ne sais pas. Ecoute on verra bien en route, on va bien trouver quelque chose.
- Avec plaisir.
La tension est à son comble, je me sens transpirer, jai les mains moites. On y est presque, 20 kilomètre, à peine quelques minutes et on sera fixé. Je ralentis, japerçois la pancarte, je me lance :
- Et si on sarrêtait là.
- Ou ça là ?
- Ben là !! Accompagné dun signe de la tête, je désigne la pancarte qui grossit doucement.
- Non mais je rêve.
- Non !!! Dis-je en riant.
- Tien !! Mon il !!! Tu me prends pour une conne ? dit-elle en riant.
- Mais non mon cur, tu me connais.
- Oui, trop bien. De toute façon ils sont sûrement fermés, même les obsédés prennent des vacances. Dit-elle en éclatant de rire.
- Ah bon ? Tu crois ? Moi je nen prends jamais
.
Puis je tourne pour entrer sur le parking où déjà stationnent quelques voitures, de toutes marques et de toutes catégories.
- Tu vois eux non plus ne prennent pas de vacances.
- Pfff !!!
Latmosphère devient soudain pesante, lourde à mourir. Je me gare, coupe le moteur, regarde ma femme qui regarde le bâtiment, dubitative.
- Bon ben on y est. Dit-elle, dun ton excédé. Je te préviens le premier qui me touche je lui pète sa gueule.
Le ton était donné. Va falloir marcher sur des ufs. Comme dirait lautre : ça va être chaud patate.
Chose que javais complètement zappé. Cest le coup du casier quon vous donne pour que vous puissiez vous changer. Quand ça mest revenu, jai été pris dune bouffée dangoisse, jai cru défaillir. Mais bon. Elle est sortie de la voiture, prête à y aller. Je risque plus rien de toute façon les jeux sont fait.
Nous nous dirigeons vers lentrée, je sonne, une femme ouvre :
- Bonsoir messieurs, dames
- Bonsoir.
- Entrez
- Merci,
Je laisse entrer Mathilde la première.
- Cest la première fois ?
- Oui, dis-je. Ca se voit tant que ça ?
- Vous inquiétez pas, on a lhabitude. Faut un commencement à tout.
Et là Mathilde :
- Oui !!! Et une fin aussi !!! Dit-elle sèchement en me regardant.
Je me suis senti meffondrer. La dame a rit aux éclats.
- Bon ! Linitiative vient de Monsieur apparemment. Cest souvent le cas. Je vais donc moccuper de vous. Suivez-moi.
Nous suivons donc cette femme qui porte un mini short noir avec fine bande de strass sur le haut, laissant voir le galbe de ses fesses.
- Tenez les clefs de vos casiers respectifs, suivez moi je vais vous montrer, puis vous me rejoindrez au bar, je vous ferai visiter.
Avec les clefs, elle nous tend 2 serviettes, ma femme reste bouche bé. Stupéfaite.
- Faut se déshabiller ?
- Oui madame, pour que tout le monde soit sur un pied dégalité.
Mathilde me jette, à ce moment là, un regard qui se passe de commentaire. Jai cru mourir fusillé sur place. Nous allons donc de plus ou moins de bon gré nous déshabiller et attachons nos serviettes. Moi autour de la taille mon bidon par-dessus et ma femme autour de la poitrine sous les bras. La serviette sarrête à mis cuisse pour elle, heureusement, elle est petite. Elle saccroche à cette serviette comme à son dernier souffle. Je suis plutôt complexé de mon ventre depuis mon accident où jai pris 20 kilos, et je nai pas le courage de me remettre à faire du sport après presque 2 ans darrêt. Mais bon, il faut montrer lexemple, alors jessaye de détendre latmosphère.
- Je me demande où on va mettre la clé maintenant.
Et du tac au tac la réponse fuse.
- tas quà te la foutre dans le cul. Connard
Un fois de plus le ton été donné.
- Cest délicat
vraiment.
Elle éclate de rire et vient se coller contre moi en me souriant. Jétais sauvé et fier comme un bar tabac.
Nous entrons donc dans la salle, une musique douce règne. Des couples, sur la piste, dansent doucement, dautres sur les canapés discutent, un ou deux hommes seuls au bar regarde le spectacle qui leur est donné.
Nous approchons du bar et la dame nous réclame nos clefs afin de les garder au chaud.
Elle nous offre un verre (sans alcool) au bar puis on discute, on papote. De tout de rien. Lambiance se décrispe, le contact entre Mathilde et cette femme est plutôt bon. Jen fais même parfois un peu les frais, essuyant quelques boutades par rapport à mon physique. Moi jen profite pour mater un peu létalage. Pas grand-chose à se mettre sous la dent. Quelques vieux libidineux, un ou deux couples, pas très beau dailleurs. Finalement les plus belles restent encore ma femme et la patronne. Décidément pas de bol.
Le temps passe doucement, et jen profite pour entraîner ma femme au Hammam, je sais quelle adore la chaleur. Il fait chaud et humide, on se voit à peine. Une forte odeur dEucalyptus diffusée en brouillard. Tout cela nous amuse et on chuchote car nous ne sommes pas seuls. Effectivement, en face de nous, une femme sactive penchée en avant sur le membre dun homme pendant que dautres la tripotent sans vergogne. Les seins, la chatte, le cul tout y passe. Ma femme se colle a moi, ma main caresse sa cuisse doucement remontant vers sa chatte. Je masse doucement son clitoris insinuant un doigt dans son intimité. Elle me sert plus fort, puis se mets à respirer plus fort, plus vite.
Les hommes, soudain, se succèdent derrière le femme en de rapide va et vient laissant leur tour au suivant quand ils en avaient apparemment fini. Une dizaine dhommes défilèrent ainsi jusqu à ce que lhomme quelle suçait jouisse dans un râle rauque.
Ma femme soupire maintenant fortement, tremble fébrilement, frissonne, attachée à mon bras comme une moule à son rocher. Je la sens vulnérable. Cest le moment où jamais de profiter de la situation.
- Suis-moi !!!
Je me lève lentraînant hors du Hammam, et je me dirige vers un coin câlin. Un lit rond trône au centre de la pièce, volontairement je ne ferme pas la porte, je la jette sur le lit puis engouffre ma tête entre ses cuisses faisant voler la serviette au passage. Me voilà entrain de lui dévorer la chatte comme jamais. Je bande comme un âne. Jen ai mal aux couilles tellement jai envie de la baiser. Mais je veux faire durer le plaisir, je veux quelle me supplie de la prendre, de la baiser, de la défoncer.
Je continue donc à lui sucer, lécher, bouffer, la chatte, mordillant son clitoris gonflé, elle soupir fortement, gémis plus bruyamment que dhabitude. Puis, je lui mets un puis deux doigts dans la chatte, elle mouille encore plus que chez mes parents, elle dégouline de mouille dans ma bouche. Maintenant je la branle, en même temps que je lui suce le clito. Et enfin le moment que jattendais tant arriva.
- Baise-moi !!!
- Quoi ?
- Baise-moi jte dis !!!
Elle me tire par les cheveux pour que je la prenne.
- Dis le plus fort
- BAISE-MOI !! dit-elle vraiment à haute voix.
- Tu veux que je te baise comment ?
- A fond
- A fond comment ?
- A fond comme une salope
.
Enfin elle la dit. Je lève la tête et je vois que nous ne sommes plus seuls. Nous avons des spectateurs. Des hommes et une ou deux femmes sont là à nous regarder, la patronne aussi qui me fait un petit signe de la tête pour mencourager. Ils ne font pas de bruit pour ne pas briser la magie de linstant. La situation me rend plus hardi.
- Redis le plus fort, je veux quon tentende
- Baise-moi comme une salope.
- Oui, je vais te baiser comme une salope que tu es.
Et joignant le geste à la parole, je menfonce en elle en missionnaire de tout mon poids. Lui collant ma bite bien au fond de la chatte. Je tape dans le fond elle grimace exprime sa douleur par un : AIE !!
Je ressors et recommence moins fort pour ne pas lui faire mal mais bien a fond quand même. Je bande dur comme jamais, excité par la situation. Je la baise à fond par de grand coup de reins, ça glisse tout seul tellement elle mouille, elle râle, gémie.
- Taime ça salope, taime ça te faire défoncer la chatte par une grosse bite. (Faut bien se faire des fleurs). Avoue que tu aimes ça espèce de grosse salope.
- Ouiiiii !!!
Et plus elle crie « oui » plus je la défonce. Puis je lui relève les jambes pour les mettre contre son torse, les genoux bien contre la poitrine. Enfin je lai mise à 4 pattes face à son public et je la prends en levrette. Delle-même elle se cambre pour bien moffrir son cul.
- Oui vas y cambre toi bien salope. Offre-moi ton gros cul. Tu vas faire une bonne pute je vais tenculer comme une chienne, je vais te défoncer le trou du cul. Putain. Jétais comme fou.
Je me redresse, pointe mon sexe contre son anus.
- Vas y écarte bien ton cul.
Avec ses deux mains, elle écarte ses fesses.
- Oui comme ça cest bien, tes belle.
Et après lavoir bien lubrifié de sa mouille, je menfonce doucement mais sûrement. En deux ou trois fois, je suis au fond de son cul. Elle pousse un long râle de plaisir et de douleur plus ou moins mêlé. Une fois au fond, je reste un court instant sans bouger, puis commence à bouger doucement en lent va et vient. Je vois son trou du cul souvrir et se tendre sous la pression de ma queue et de mon poids. Je ressorts complètement afin dadmirer le joli trou du cul qui palpite bien ouvert. Puis je my renfonce dun coup. A fond, jusquaux couilles. Certains se sont déplacés afin de pouvoir admirer, eux aussi, le trou du cul dilaté de ma femme. Une fois bien dilatée, je me suis mis à lenculer comme jamais je lavais fais auparavant. Avec force, lui claquant les fesses, vociférant, linsultant copieusement.
- Tien putain. Regarde comme je tencule bien maintenant. Tas vraiment un cul de pute. Hein que taime te faire démonter le cul pétasse.
Et là
oh surprise. Je nen reviens pas.
- Oui. Oui. Oui. Encule-moi fort. Vas-y défonce moi le cul.
- Tes une pute.
- Oui. Vas y plus fort. Encore. Ouiiiiiii.
Nous jouissons en même temps. Nos nous effondrons sur le lit, épuisés. Jai bien cru que mon cur allait ressortir par la bouche et que jallais crever là. Mais je men fous. Je suis le plus heureux et le plus fier des hommes. Ma femme a jouie devant tout le monde. Et jen suis la cause. Une fierté au delà de ce quon peut imaginer. Oui jétais fier.
Cest dailleurs tout aussi fier que je sortais du club, ma femme à mon bras épuisée. Nous sommes remontés dans la voiture. Elle sest instantanément endormie. Jai bien eu de mal à finir la route. Nous nous sommes couchés en arrivant sans un mot.
Je pensais avoir gagné. Je me trompais lourdement. En gros lourdaud que je suis.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!